Le cabinet de curiosités MalouinLa Galerie Marie Adélaïde est située au cœur de la cité historique de Saint-Malo. Dans l’Intra-Muros, au 12 de la rue de Dinan. Cabinet de curiosités qui offre aux amateurs et collectionneurs des objets et mobiliers sélectionnés avec attention sur des critères exigeants (authenticité-qualité-rareté-esthétique-atypisme) et provenant principalement d’Asie, d’Afrique, d’Océanie et d’Europe. Ces pièces, souvent uniques, issues principalement d’anciennes collections privées européennes sont en résonance avec le lieu (immeuble d’armateurs datant de 1756) afin de pouvoir conter la culture et l’histoire des objets, du mobilier et des œuvres. De par ma récente profession de direction d’entreprise internationale, j’ai pu voyager à travers le monde. Mon seul souhait en ouvrant ce lieu, c’est de partager, de transmettre ma passion et de faire dialoguer ces cultures plurielles entre elles et les rendre accessibles au plus grand nombre : « on ne choisit pas les objets, ce sont eux qui vous choisissent ». « Nous ne sommes que des passeurs d’objets, d’histoire et de culture ». Successeur de M. Busnel (deux générations d’antiquaires), je continue à dénicher pour vous avec une passion nourrie de la connaissance des netsukes, inros, paravents, katanas, armures, ainsi que des pièces témoins de l’excellence et de la grâce de l’art du Japon dans le domaine de la laque, du bronze, de l’argent des émaux, de la poterie couvrant la période EDO et Meiji. Nous retrouvons aussi des pièces de forme et porcelaines de la Compagnie des Indes et d’autres objets et mobiliers plus anciens, chinoises Royaume Combattant, Han, Ming et meubles dit de port et du XVIIIème. Issu de plusieurs générations de collectionneurs et d’une grand-mère experte en art, j’ai souhaité faire partager et transmettre ma passion de l’art de l’Extrême-Orient et du XVIIIème en ouvrant la galerie à des pièces ethnographiques de Nouvelle-Guinée, des îles du Pacifique avec d’autres provenant d’Afrique, notamment du Bassin du Congo, de Côte-d’Ivoire et ses voisins, du Nigéria ainsi que des objets d’archéologie. Enfin, comme les collections évoluent et se construisent dans le temps, la galerie Marie Adélaïde propose une rencontre entre des masques et statuaires du XIXème et XXème, dan, senoufo, dogon avec des peintures contemporaines africaines « peintre de la rue » et aborigènes. L’art premier et d’Asie côtoient naturellement des peintures et dessins du XIXème et XXème et des objets de vitrine, témoignages du raffinement du XVIIème et du XVIIIème. |